Construire plus de routes cyclables (et non des pistes cyclables) et élargir celles déjà existantes faciliterait la circulation des vélos (et des voitures). Les cyclistes se sentiraient plus en sécurité et auraient donc plus de facilité à se concentrer sans un stress en plus.
De plus, cette initiative encouragerait plus de personnes à utiliser les mobilités douces plutôt que la voiture, cela réduirait beaucoup les émissions de gaz à effet de serre émises par le secteur des transports.
Cela réduirait la circulation routière, car de nombreuses voitures en moins, il y aurait plus de place sur les routes, les transports publics pourraient plus facilement circuler, notamment pendant les heures de pointe.
La pollution sonore serait également réduite, le moteur des voitures faisant plus de bruit qu'un vélo. Cela serait plus agréable pour les habitants, surtout la nuit.
Des villes comme Copenhague (Danemark) nous montrent que les habitants des grandes villes sont motivés à faire du sport et s'activer dans des initiatives bonnes pour l'environnement. En effet, il y a là-bas six fois plus de vélos que de voitures. Quelques règles de sécurité sont données aux cyclistes, mais une fois respectée, leur trajet se passe à merveille ! Il y a des feux pour les vélos différents de ceux des voitures, ce qui permet d'éviter tout accident entre cyclistes et automobilistes. Les vélos ont aussi accès à de nombreux espaces publics auxquels les voitures sont interdites, par exemple certains parcs, zones piétonnes, etc.