Est-ce que la violence conjugale est assez sanctionné ?

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laraetcolin2022
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Agnesa Gjocaj jeu 10/03/2022 - 16:47

Très pertinent, bravo aux auteurs

Joana Maia jeu 10/03/2022 - 19:24

Parfait ce que tu dis!

Alexandra de jesus jeu 10/03/2022 - 21:00

Sujet très intéressant

Shantelle Mpofu mar 15/03/2022 - 00:06

Significative

Danaelle Desgalier mar 28/02/2023 - 00:47

Nous sommes le lundi 28 février 2023 J’ai du faire appel à la police aujourd’hui pour une amie qui subit de la violence psychologique ,physique de manière conjugale cet homme est extrêmement dangereux il possède des armes chez lui la police le savait mais tous qu’il ont fait c’est me sourire à la gueule en me disant on peut rien faire j’ai tapper un scandale j’ai hurler dans la rue que c’était plus que grave je leur aïe ennoncé le fais qu’en France il y a déjà 33 féminicide depuis le début de l’année et que et on me répond en souriant « on peut rien faire madame » une nonchalance et un je m’emfoutisme que je n’ai jamais vu de toute ma vie et une femme qui me répond au téléphone parce que oui j’ai rappeler la police après et cette femme qui me répond les 33 féminicides n’est pas un argument voilà je vous laisse le prendre en compte !!!!

Description du souhait

La violence conjugale peut être exposée de différentes manières. Rapports sexuels non-consentis, violence physique ou verbalement, … On a besoin de sanctionner plus sévèrement les coupables et protéger nos victimes.
Pour commencer, on a décidé de parler sur la violence conjugale car on trouve que la justice n’est pas assez stricte. Nous avons constaté, par exemple que les conducteurs conduisant à haute vitesse ou les consommateurs de stupéfiants sont plus sanctionnés. Alors que, c’est des infrastructures moins graves. On trouve qu’en 2022, les formes de violence augmentent chaque jour et les victimes n’osent pas témoigner car elles ont honte ou parce qu’elles ne seront pas prises au sérieux si elles ne présentent assez de preuves. Dans certains cas, quand les victimes ont témoigné, le coupable a soit une amende, emprisonnement de six mois ou plus ou éloignement.

On a constaté qu’en Suisse, une personne coupable de violence a comme conséquence :
• une amende
• une peine pécuniaire de 180 jours-amende ou plus
• une peine privative de liberté de 6 mois ou plus

Alors qu’en France :
• La peine peut aller jusqu'à 5 à 7 ans d’emprisonnement avec une amende de 7500€ en cas de circonstances graves
• En cas de violence conjugale répétée, une amende de 75 000€ peut être demandée
• S’il n’y avait pas d’intention de tuer mais les blessures aux victimes sont très intenses jusqu’à 20 ans de prison en cas de violence exceptionnelle et 30 ans en cas de violence fréquente
• Si le coupable a une intention de tuer, c’est la perpétuité qui risque de lui être infligée.

Ces dernières semaines, on a suivi un cas qui s’est passé il y pas très longtemps :

Cette situation s’est passée en Valais. Le journal 20 minutes explique comme quoi cette femme est une victime d’harcèlement sexuel par un de ses collègues. L’homme insistait a des rapports sexuels. Enfaite, cet homme s’est masturbé devant la femme sans son consentement et lui a demandé de regarder. De plus, il envoyait des images de sa partie privée ainsi qu’il l’a attirée dans un appartement mis à disposition pour les services de piquet. Il a eu comme amende 1000 francs et doit donner 1200 francs dédommagement à la victime, en tout 2200 francs. Sans compter les frais de procédures qui s’élèvent à 750 francs.

On a également trouvé en autre cas :
Un homme d’origine portugaise de 42 ans a été accusé par son ancienne compagne de viols et harcèlement. Le tribunal régional Jura-Seelan a condamné une peine de seulement 16 mois et une amende de 7000 francs. Vu que l’homme n’avait pas d’antécédents judiciaires, ils ont décidé que la peine serait assortie du sursis.

Motivation

Notre avis

On trouve que les femmes ne sont pas assez entendues ou comprises. Si la femme n’apporte pas assez de preuves, dans les yeux de la justice, ça n’a jamais existé et la personne accusée n’a aucune peine ou punition ou si oui, c’est une petite peine. Ce que ça justifie que la personne accusée le fera à nouveau, sortira libre et pourra commettre encore pire. Les victimes seront touchées à vie par ce qu’elles ont subi, certaines développent une dépression ou finissent par se suicider, même si elles sont suivies par un psychologue ou une aide. On devrait vraiment s’améliorer sur cela. On trouve qu’il y a des situations qui devrait être au même niveau de justice. En 2020, plus de 46'000 infractions de violence ont été enregistrées en Suisse. Et plus de 20'000 ont été commises dans la sphère domestique.

Un de mes collègues s’est fait blâmer par la police car il s’est fait voir par les caméras de surveillance à 203km/h sur l’autoroute. Comme conséquence, il a perdu son permis puis il devra le refaire dans une année. Ensuite, il risquait minimum un an d’emprisonnement et maximum 4 ans. On sait que rouler en excès de vitesse, ce n’est pas justificatif mais quand on voit certains cas comme celui-là, on se demande si la justice est bien servie.

Ce qu’on pourrait faire pour s’améliorer :

• Visite régulière dans le lieu de domicile pour se certifier que la victime va bien
• Mettre en œuvre plus des programmes de support pour les victimes de violence
• Une peine élargie et correcte aux accusés
• En cas d’enfants, les protéger de cet environnement toxique

Timeline

10.03.22

Souhait reçu.