Nous le savons depuis des années que sortir en boîte de nuit constitue un réel danger pour les jeune, mais principalement pour les femmes.
Les drogues du violeur refont leur apparitions et grâce aux réseaux sociaux les nouvelles se propagent rapidement. Ce qui créer non seulement une peur générale chez les jeunes mais également de la mauvaise pub pour les organisateurs de soirée.
Malheureusement rares sont les plaintes qui aboutissent à quelque chose. La plupart du temps, les jeunes victimes ne se font pas prendre au sérieux par les sécuritas, ni par la police qui insinue que les victimes droguées à leur insu «devrait connaître leur limites ».
La drogue ne restant dans le sang que quelques heures, il est difficile de constituer un preuve tangible.
La peur de se faire droguer (avec des conséquence légères ou graves) est constant et nous empêche de nous amuser pleinement.

Bien que la question des présences féminine dans les boîtes de nuits ne soit plus à discuter, nous constatons que ce sont tout de même les plus touchées par ces incidents.

Afin de contrer ceci, nous pourrions pour nos futurs enfants, proposer des cours d'éducation sur le féminisme (modéré) dans les écoles (à même titre que les cours d'éducation sexuelle ont été introduit). Ceci permettrait peut-être d’ouvrir l’esprit de nos jeunes et de leurs faire comprendre que nous sommes tous égaux, homme ou femme. Et peut-être qu’à la venir, il y aurait moins d’évènements tristes de GHB, et s’il y en a, j’espère qu’il y a aura plus de réaction afin de protéger la victime.

Mais dans un premier temps, je pense qu'il serait bien que les boîtes de nuit aient l'obligation de fournir des "capotes à verre" afin que les personnes qui le souhaitent en ait à disposition afin de pouvoir profiter de leur soirée avec une préoccupation en moins.