Le but est de proposer des formations de courte durée dans les centres d'hébergement cantonaux. Cela permettrait aux demandeurs d'asile d'acquérir un moyen supplémentaire d'intégration. De plus, cela permettrait, pour ceux ne connaissant pas l'une des langue nationale, de l'acquérir plus rapidement et plus concrètement. Pour finir, s'ils obtiennent le droit de rester en Suisse, ils pourraient être "productifs" de suite. Dans le cas d'un refus d'autorisation pour rester sur le territoire suisse, ils pourraient emporter avec eux de nouveaux savoirs pouvant leur être utiles dans leur pays d'origine. En parallèle, la Suisse pourrait privilégier des formations dans les secteurs professionnels où l'économie manque de travailleurs.